L.E.A – Avocats, spécialiste de l’indemnité de rupture de l’agent commercial

 

Un arrêt de la Cour de Besançon du 17 janvier 2017 juge que la juxtaposition de reproches mineurs ou de reproches anciens faits par le mandant à l’agent, ne suffit pas à rendre impossible le maintien des relations contractuelles et ne saurait donc constituter une faute grave de l’agent.

La cour condamne en conséquence le mandant à verser à l’agent une indemnité de rupture égale à deux années de commissions.

Antoine SIMON, Avocat associé

L.E.A – Avocats

Plus sur l’agent commercial :

FAQ Agent commercial, partie 1, qualité d’agent commercial

FAQ Agent commercial, partie 2, contrat d’agent commercial

FAQ Agent commercial, partie 3, rupture du contrat d’agent commercial